La Clinique Générale-Beaulieu est fière d’annoncer la 2'000ème opération au moyen du robot chirurgical da Vinci®.
Fidèle à sa tradition de pionnière, la Clinique Générale-Beaulieu a vu se succéder plusieurs versions de ce robot depuis son implantation en 2003. Résultat : l'expérience acquise atteint 2'000 interventions dont plus de 1'000 pour le cancer de la prostate. Sous l’impulsion du Docteur Charles-Henry Rochat qui a initié notre programme pour l’urologie, la Clinique Générale-Beaulieu est reconnue par l’Association Européenne d’Urologie comme centre de formation pour la prostatectomie radicale. Les indications opératoires se sont élargies : le robot est utilisé principalement dans différents domaines de l’urologie, mais aussi en chirurgie viscérale et gynécologique. En outre, cette nouvelle technologie a permis de vivre une formidable aventure humaine avec la constitution d'équipes pluridisciplinaires en connexion avec de nombreux centres européens.
Il y a quelques jours, la clinique vient de s’équiper du tout dernier modèle de ce concentré de technologie : le da Vinci® Xi. Le seul robot à littéralement communiquer avec sa table d'opération intégrée (True System® Trumpf). Les avantages de cette nouvelle installation sont impressionnants : pour le patient, il est synonyme d’une sécurité accrue lors d’opérations délicates pour lesquelles on recherche un meilleur résultat fonctionnel, une réduction du saignement, une diminution des infections et des douleurs postopératoires, ainsi qu’une hospitalisation et une convalescence raccourcies.
Pour le chirurgien, il offre une vision en trois dimensions grâce à une caméra haute définition allégée, une facilité d'accès à des sites opératoires difficiles, une précision des gestes chirurgicaux avec ses quatre bras fins tournant à 270 degrés autour du patient, et une rotation des instruments sur six axes. Il est intéressant de remarquer que grâce à sa meilleure maniabilité et flexibilité, le da Vinci® Xi offre une ergonomie améliorée tant en chirurgie viscérale et digestive que pour certaines opérations urologiques et gynécologiques complexes. Ainsi il permet aux chirurgiens d’étendre la chirurgie mini-invasive, notamment celle du colon, du rectum et du poumon, à des patients qui sans lui, auraient été opérés en chirurgie ouverte.